(2002) Le Portique 10.
Les personnes « dépendantes » ont un rapport particulier à leur corps. « L’usage » qu’ils en font et la représentation qu’ils en ont, semblent marqués par un vide impossible à nommer. Cette problématique nous rappelle que toute séparation se négocie peut-être à l’aune d’une perte (castration orale) difficile à avaler !
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Full citation:
Marinelli, D. (2002). Addictions : à corps perdu. Le Portique 10, pp. n/a.
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